top of page

Pas de vacances pour les conflits de fratrie

Le piège de l'arbitrage


Hello!


Alors ces vacances?

Je t'imagine, allongé.e sur un transat au bord de la piscine en train de siroter une boisson fraîche, en appréciant la caresse du vent sur ta peau... "Raaaaaaaahhhhhhh!"... tout à coup, le cri strident d'un de tes enfants te tire de ta rêverie estivale... Et les voilà en train de se chamailler pour savoir qui chevauchera la bouée licorne... Cette scène t'est sans doute familière, et si ce n'est pas la bouée licorne qui est la source de leur conflit, c'est peut-être le dernier cornet à la vanille dans le congélateur, la place près de la fenêtre dans la voiture, ou la couleur du gobelet pour le goûter...

Toi qui imaginais tes vacances d'été comme une période de joie et de détente en famille, tu as l'impression de te retrouver sur un ring de boxe, en train de compter les points...


Pas de panique, les conflits entre frères et soeurs, même s'ils sont épuisants, sont tout à fait normaux... (et oui!)

Aujourd'hui, je te propose de découvrir un des pièges à éviter pour gérer efficacement ces conflits et favoriser une ambiance harmonieuse pendant les vacances (et tous les autres jours de l'année).

Gérer les conflits de fratrie sans tomber dans le piège de l'arbitrage

Le piège n°1 dans la gestion des conflits de fratrie: vouloir jouer l'arbitre

Lorsque des conflits éclatent entre frères et sœurs, il peut être tentant de prendre parti pour l'un d'eux, surtout si l'on perçoit que l'un est la victime et l'autre l'agresseur. On peut aussi avoir tendance à défendre le plus jeune, face au plus âgé. Ou juger sur les seules 5 dernières secondes auxquelles on vient d'assister...

Cependant, prendre parti dans les disputes fraternelles peut aggraver la situation et créer des ressentiments entre les enfants et envers le parent.

Cela peut également renforcer les rôles d'agresseur et de victime, ce qui peut être préjudiciable à long terme pour la relation entre frères et sœurs.


L'écoute des émotions

En tant que parent, il est important de reconnaître et de valider les émotions de chacun.

Plutôt que de prendre parti, écoute attentivement les deux côtés de l'histoire et montre de l'empathie envers les émotions de chaque enfant. Tu peux dire des choses comme "Je comprends que tu te sentes en colère" ou "Je vois que tu te sens triste". Cela montre à tes enfants que tu es là pour les soutenir émotionnellement, peu importe la situation.


la médiation

Si nécessaire, tu peux adopter une approche de médiation en aidant les enfants à exprimer leurs sentiments et leurs besoins de manière constructive. Encourage-les à communiquer ouvertement et à chercher des solutions ensemble. En guidant tes enfants dans le processus de résolution de conflits, tu les aides à développer des compétences sociales importantes et à apprendre à gérer leurs émotions de manière saine.



Envie d'en apprendre plus sur la gestion des conflits de fratrie?

Aujourd'hui, je t'ai parlé du piège n°1 dans la gestion des conflits entre frères et sœurs. Bien sûr, ce n'est pas une recette miracle que je te propose ici, et cela ne te permettra pas de résoudre tous les conflits entre tes enfants d'un coup de baguette magique. Mais c'est une première clé pour t'aider dans ton quotidien pas toujours facile de parent!

Si tu as envie d'en apprendre plus sur la gestion des conflits de fratrie et d'avoir des clés pour mieux accompagner tes enfants, je te propose de t'inscrire sur la liste d'attente pour le mini programme que je prépare pour cet automne:

En te préinscrivant (sans engagement), tu seras tenu.e informé.e en avant-première du lancement du programme et tu bénéficieras du tarif de lancement du programme et de ses bonus! Au plaisir de te retrouver la semaine prochaine pour un nouvel article du blog, et belle semaine!

Avec douceur et bienveillance,

Guénaëlle





bottom of page